VALPOLICELLA IN VILLA, sabato 23 settembre ore 17.00


Coltiviamo la BIODIVERSITA'


15 jours pour arrêter le massacre!

Chère amie, cher ami,
Nous avons une fenêtre de tir inespérée pour forcer la Commission européenne à interdire pour de bon les pesticides néonicotinoïdes responsables de plus de 20 ans de massacre intensif des abeilles…
… Mais il faut agir vite : dans deux semaines, il sera trop tard !
Envoyez sans tarder votre pétition aux députés européens en cliquant ici.
A la demande des apiculteurs, le Parlement européen est en train de préparer une procédure d’initiative (1) pour protéger les abeilles et l’apiculture…
…Sauf que ce texte ne fait pas une seule fois mention des pesticides néonicotinoïdes !
Les députés sont en train de décider de l’avenir des abeilles en Europe, sans mentionner une seule fois l’une des principales causes de leur déclin - qu’on pourrait enrayer en se débarrassant une bonne fois pour toutes de ces poisons !
Une centaine d’études scientifiques ont déjà été publiées qui montrent les effets dévastateurs des pesticides néonicotinoïdes sur les abeilles (2). Les deux dernières en date, effectuées en conditions réelles, sur le terrain, ont montré une mortalité de 23 % supérieure pour les abeilles mises en contact avec ces produits par rapport aux colonies non contaminées (3).
Pire : même à petite dose, ces pesticides sont capables de décimer une colonie tout entière ! En agissant sur le système nerveux central des abeilles, les néonicotinoïdes perturbent leur comportement : désorientation, diminution des vols pour faire des réserves, propension des abeilles à quitter la ruche, difficulté à entretenir leur habitat et élever une nouvelle reine, plus grande vulnérabilité aux parasites et champignons qui pullulent désormais dans les ruchers… (2) (3)
Malgré toutes ces preuves irréfutables, la Commission européenne rechigne à interdire complètement ces produits sur le territoire européen.
Car derrière elle, ce sont des centaines de lobbyistes qui travaillent d’arrache-pied pour défendre les intérêts colossaux des entreprises de l’industrie agrochimique - on parle de plusieurs milliards d’euros de bénéfices par an sur ces seuls pesticides !
En 2013, après des années de lutte des citoyens et des apiculteurs, la Commission a promulgué un moratoire partiel pour calmer les défenseurs des abeilles : les néonicotinoïdes seraient interdits seulement en certaines saisons, et sur certaines cultures…
Un plan taillé sur-mesure pour l’agrochimie, qui pouvait continuer à écouler ses produits tout en prétendant qu’ils n’étaient pour rien dans le déclin dramatique des abeilles.
L’année suivante, la consommation de pesticides tueurs d’abeilles avait bondi de 31 % (on est passé de 387 tonnes de néonicotinoïdes en 2013, à 508 tonnes en 2014)… (4)
… Et peu de temps après, les autorités sanitaires européennes tiraient la sonnette d’alarme : le déclin des abeilles était en train de s’accélérer en Europe. (5)
Tout ça parce que les institutions européennes n’ont pas osé aller à l’encontre des intérêts des lobbies, et interdire fermement, et en toutes saisons, les pesticides tueurs d’abeilles !
C’est pourtant ce moratoire partiel qui a été reconduit l’année dernière, et qui sera sans doute reconduit dans les années à venir, si nous ne coupons pas court à l’influence des lobbies sur la Commission européenne.
Mais aujourd’hui, nous avons un moyen de contraindre la Commission européenne d’interdire ces poisons – sans que les lobbies puissent s’interposer…
Il suffirait que les députés européens insèrent un amendement dans la procédure d’initiative sur l’apiculture qu’ils sont en train de préparer, pour que l’interdiction s’impose à la Commission européenne, et qu’elle soit obligée de répondre à la demande des députés.
Pour tous les défenseurs des abeilles et de la nature, ce serait un tour de force magistral, et un beau pied-de-nez fait aux lobbies de l’agrochimie, qui auront bien du mal à saboter cette nouvelle interdiction surprise comme ils l’ont fait avec la précédente.
Ils sont déjà quasiment parvenus à rendre caduque l’interdiction votée par les députés français l’été dernier ?
Leur pouvoir de nuisance est gigantesque. Mais cette fois, nous avons pour nous notre plus grande force : notre nombre, et notre capacité à faire pression sur des députés européens qui nous doivent leur élection– ainsi que leur réélection…
Alors ne perdez pas une minute : signez dès maintenant votre pétition aux députés européens pour obtenir la fin des pesticides tueurs d’abeilles en Europe !


Ici chez POLLINIS, toute l’équipe est sur le pied de guerre pour obtenir l’inscription de l’interdiction des néonicotinoïdes dans cette résolution européenne sur les abeilles et l’apiculture.
Nous avons déjà rédigé un amendement, et multiplions les rendez-vous avec les députés influents pour les convaincre de le déposer.
Avec des dizaines, des centaines de milliers de citoyens derrière nous, croyez-moi, ils auront du mal à nous dire non !
C’est pourquoi il est vraiment important que vous preniez deux petites minutes pour cliquer sur ce lien et signer la pétition, et pour diffuser ce message le plus largement possible autour de vous – en le transférant à vos amis par email par exemple, ou en partageant cette action sur les réseaux sociaux.
Un grand merci par avance pour votre engagement dans cette bataille cruciale pour l’avenir des abeilles et de tout l’environnement qui en dépend!

Bien cordialement,
Nicolas Laarman
Délégué général

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Références :

(1) 2017/2115(INI) Perspectives et défis pour le secteur apicole de l’Union européenne.
(2) Voir par exemple Worldwide integrated assessment on systemic pesticides.
(3) L’exposition chronique aux néonicotinoïdes réduit la santé des abeilles dans les cultures de maïs N.Tsvetkov, O.Samson-Robert, K. Sood, H.S. Patel, D.A. Malena, P.H. Gajiwala, P. Maciukiewicz, V. Fournier, A. Zayed Doi:10.1126/science.aam7470.Science. 30 Juin 2017;356(6345):1395-1397.
Spécificité nationale des effets des néonicotinoides sur les abeilles domestiques et sauvages A. Woodcock, J.M. Bullock, R.F. Shore, M.S. Heard, M.G. Pereira, J. Redhead, L. Ridding, H. Dean, D. Sleep, P. Henrys, J. Peyton, S. Hulmes, L. Hulmes, M. Sárospataki, C. Saure, M. Edwards, E. Genersch, S. Knäbe, R.F. Pywell Doi:10.1126/science.aaa1190.Science. 30 juin; 356(6345):1393-1395.
(4) L’utilisation des insecticides « tueurs d’abeilles » est toujours en forte augmentation, Stéphane Foucart, LeMonde.fr - 27.05.2016
(5) EU scientific workshop on bee health and sustainable pollination - European Food Safety Authority and the European Commission’s Directorate General for Agriculture and Rural Development, 10 March 2016

Il 23 Settembre alle Cà Magre


Glifosato, la valutazione dei rischi Ue copiata dai documenti Monsanto



Parti del rapporto dell’Autorità europea per la sicurezza alimentare (EFSA) che ha valutato i rischi dell’uso del glifosato sono stati copiati dalla richiesta di rinnovo dell’autorizzazione di Monsanto.  

Monsanto è la società che ha inizialmente sviluppato il glifosato, il principio attivo usato per produrre erbicidi come il Roundup. Una sostanza che vende da decenni, gestendo un mercato mondiale da miliardi di euro.  

I governi dell’Ue, tra cui l’Italia, e la Commissione europea devono decidere nei prossimi mesi se rinnovare o meno l’autorizzazione per il commercio e l’uso di glifosato, che è in scadenza alla fine di quest’anno. Alla base della decisione ci sarà appunto il rapporto preparato dall’EFSA nell’ottobre 2015, che prende in considerazione criteri quali il possibile impatto sulla salute umana e i rischi ambientali. 

Durante l’intero processo di revisione dell’autorizzazione, gli enti responsabili della valutazione dell’EFSA, come l’Istituto federale tedesco per la valutazione dei rischi (BfR), hanno affermato che la loro opinione è basata esclusivamente sulla propria valutazione obiettiva delle ricerche scientifiche sul glifosato, ma qualcosa non torna. 

Confrontando la richiesta di rinnovo dell’autorizzazione che Monsanto aveva presentato nel maggio 2012 per conto della Glyphosate Task Force, un consorzio di oltre 20 aziende che commercializzano prodotti a base di glifosato in Europa, e la relazione dell’EFSA si nota chiaramente che la realtà è ben diversa. Entrambi i documenti sono accessibili online, ma finora nessuno aveva pensato di esaminarli con più attenzione e confrontarli. 

Le sezioni del rapporto dell’EFSA che riesaminano gli studi pubblicati sul potenziale impatto del glifosato sulla salute umana sono stati copiati, quasi parola per parola, dal dossier presentato da Monsanto. Sono 100 pagine sulle circa 4.300 del rapporto finale, ma si tratta delle sezioni più controverse e al centro dell’aspro dibattito degli ultimi mesi, quelle sulla potenziale genotossicità, la cancerogenicità e la tossicità riproduttiva del glifosato. 

L’EFSA e il BfR hanno sempre affermato di aver svolto il proprio lavoro correttamente. E’ di giugno 2017 una dichiarazione dell’EFSA in merito alla valutazione UE del glifosato e dei cosiddetti “Monsanto papers”: “Ogni studio scientifico è esaminato per rilevanza e affidabilità (…) sulla base dei dati contenuti nello studio”. 

Peter Bleser, segretario di Stato presso il ministero federale tedesco per l’alimentazione, l’agricoltura e la protezione dei consumatori (BMELV), in risposta ad un’interrogazione scritta del 7 settembre 2015 afferma che: “La valutazione del rischio sanitario nel RAR (ndr rapporto di valutazione del rinnovo) è basata esclusivamente su valutazioni indipendenti del BfR di tutti gli studi citati”. 

Le agenzie europee sono arrivate alla conclusione che il glifosato è innocuo per l’uomo. Una valutazione che appare ora ‘copiata’ dagli studi forniti dall’industria, il cui contenuto non puo’ essere consultato pubblicamente.  

Ben diversa l’analisi fornita dagli studi pubblicati e rivisti da gruppi di scienziati, alla base dell’opinione dell’Agenzia internazionale per la ricerca sul cancro (IARC) che segnala il possibile ruolo del glifosato nello sviluppo di tumori. Questi studi sono stati criticati da Monsanto, che li ha definiti non attendibili e irrilevanti, studi che l’EFSA ha dunque scelto di ignorare nella sua valutazione. 

I documenti sembrano confermare che il BfR e di conseguenza l’EFSA non hanno condotto nessuna revisione indipendente degli studi scientifici sui potenziali impatti del glifosato sulla salute umana, prendendo per buona la valutazione fornita dall’azienda produttrice. 

Dopo la pubblicazione dei «Monsanto Papers», il confronto tra i due documenti getta ulteriore incertezza sull’obiettività della valutazione presentata dall’EFSA, sulla quale i rappresentanti politici degli Stati membri sono chiamati ad esprimersi entro la fine 2017. Su un piatto della bilancia il diritto a procedere per Monsanto e per i produttori di glifosato, sull’altro un legittimo dubbio.

tratto da:


Comincia ultimo round europeo sul glifosato

ITALIA CONFERMI LA SUA POSIZIONE CONTRARIA E PRENDA LA LEADERSHIP EUROPEA DELLA BATTAGLIA CONTRO L’ERBICIDA

Il presente comunicato viene inviato per conto della coalizione #stopglifosato

Si avvia a Bruxelles la discussione in sede tecnica sulla proroga di 10 anni all’utilizzo del glifosato in Europa, nel Comitato PAFF. Anche se occorrerà aspettare la riunione politica, già fissata per il 5 ottobre, domani si gettano le basi per decidere se i cittadini europei continueranno o no a vivere sotto la minaccia di una sostanza chimica che l’Organizzazione mondiale della sanità giudica ‘probabilmente cancerogena’ e che è invece stata assolta dagli enti europei di controlli, con procedure che hanno richiamato l’attenzione della stampa e del mondo scientifico, visto che le opinioni risultano pesantemente inquinate dalle richieste e dalle ricerche dell’azienda produttrice. La Francia ha già annunciato il suo parere contrario, è importante che l’Italia, come ha fatto in altre fasi con le posizioni del Ministro Martina, confermi la posizione contraria ad una nuova autorizzazione per il glifosato. Il rischio però è che comunque si formi un blocco di Paesi decisamente a favore del glifosato e che contro questo blocco non ci sia un impegno comune e deciso dei nostri governi.
La Coalizione #StopGlifosato chiede, attraverso la sua portavoce Maria Grazia Mammuccini “ai ministri Martina, Galletti e Lorenzin di prendere la testa di una coalizione di paesi che puntano sulla salute dei cittadini, la qualità dei cibi e la difesa dell’ambiente: elementi, tutti questi, fondativi della identità europea. È essenziale che l’Italia mantenga la sua posizione, ma è anche importante che si attivi a livello europeo perché il verdetto tecnico di domani vada nella direzione giusta”. E chiede inoltre specificamente al nostro Governo di seguire il percorso intrapreso dall’Austria dove l’agenzia austriaca per la sicurezza alimentare ha chiesto alla Commissione europea un'indagine ufficiale sul presunto plagio della valutazione di rischio.
“Il Governo austriaco – ricorda Mammuccini – ha chiesto che non si prendano decisioni sul glifosato senza prima aver fatto chiarezza sulla vicenda dei ‘Monsanto papers’, cioè della intromissione della multinazionale produttrice dell’erbicida nelle ricerche teoricamente indipendenti svolte dalle agenzie europee ECHA e EFSA, che hanno assolto il glifosato dai sospetti di cancerogenicità. Un’assoluzione – dice la portavoce della Coalizione – che rispecchia un vero e proprio ‘copia e incolla’ dei documenti forniti dai produttori, come denunciato – e non smentito – sui media. Si tratta di un episodio, su cui i governi europei non possono tacere: occorre far chiarezza e subito”.

Per essere sempre informato sulle attività della Campagna #StopGlifosato seguici su Facebook, (hashtag #StopGlifosato)
 
Aderiscono alla Coalizione italiana #StopGlifosato: ACP-ASSOCIAZIONE CULTURALE PEDIATRI - AIAB -  ANABIO- APINSIEME – ASSIS - ASSOCIAZIONE PER L’AGRICOLTURA BIODINAMICA - ASSO-CONSUM – ASUD – AVAAZ - CDCA – Centro Documentazione Conflitti Ambientali - CONSORZIO DELLA QUARANTINA - COSPE ONLUS - DONNE IN CAMPO CIA LOMBARDIA - EQUIVITA - FAI - FONDO AMBIENTE ITALIANO – FEDERBIO - FEDERAZIONE PRO NATURA - FORUM ITALIANO DEI MOVIMENTI PER L’ACQUA - FIRAB - GREEN BIZ - GREEN ITALIA - GREENME – GREENPEACE - IBFAN- ITALIA - IL FATTO ALIMENTARE- IL TEST - ISDE Medici per l’Ambiente - ISTITUTO RAMAZZINI - ITALIA NOSTRA – LEGAMBIENTE – LIFEGATE - LIPU-BIRDLIFE ITALIA - MDC-MOVIMENTO DIFESA DEL CITTADINO - NAVDANYA INTERNATIONAL - NUPA-NUTRIZIONISTI PER L’AMBIENTE - PAN ITALIA – Pesticide Action Network - REES-MARCHE - SLOW FOOD ITALIA - TERRA NUOVA - TOURING CLUB ITALIANO - UNAAPI-UNIONE NAZIONALE ASSOCIAZIONI APICOLTORI ITALIANI – UPBIO - VAS-VERDI AMBIENTE E SOCIETA’ - WWF ITALIA - WWOOF-ITALIA

Supera i 15 miliardi lo spreco alimentare in Italia



Sono tanti i soldi che in Italia finiscono nella pattumiera ogni anno. E' calcolato infatti che nel cesto dei rifiuti in dodici mesi finiscono 15,5 miliardi di euro di cibo, un valore pari allo 0,94% del Prodotto interno lordo nazionale. Lo spreco è riconducibile in gran parte allo spreco domestico che rappresenta i quattro quinti del totale.
La stima è stata elaborata sulla base dei test 'Diari di Famiglia' eseguiti dal ministero dell'Ambiente con il Dipartimento di Scienze e Tecnologie Agroalimentari dell'Università di Bologna, nell'ambito del progetto Reduce 2017. 

La rilevazione è avvenuta a un anno dall'entrata in vigore della Legge per la limitazione degli sprechi, l'uso consapevole delle risorse e la sostenibilità ambientale, la cosiddetta Legge Gadda. Nel dettaglio, vale oltre 3,5 miliardi annui lo spreco alimentare lungo filiera produttiva e distributiva, ovvero dai campi (946.229.325 euro) alla produzione industriale (1.111.916.133 euro), agli sprechi nella distribuzione (1.444.189.543 euro). A questa cifra vanno aggiunti i 12 miliardi dello spreco domestico reale (quello percepito si ferma a 8 miliardi). I dati scientifici dei 'Diari di Famiglia', condotti le scorse settimane su un campione statistico di 400 famiglie di tutta Italia, saranno resi noti nell'ambito di un convegno internazionale a febbraio 2018, in occasione della quinta Giornata Nazionale di Prevenzione dello Spreco alimentare. 

tratto da:
http://www.greenplanet.net/supera-i-15-miliardi-lo-spreco-alimentare-italia

Porte aperte in Cooperativa


Convegno interessante a Granitorto


Un mese in giardino: settembre

Il ritorno dalle vacanze diventa il momento per fare il bilancio di come è andata l’estate, di come il nostro giardino è sopravvissuto a questa stagione che da qualche anno ci ha abituati a sorprese che vanno dalla forte siccità alle piogge ripetute di inizio stagione tali da compromettere fiori e raccolti. Tutto sommato il giudizio è positivo, non è andata male, me lo suggeriscono i sambuchi che nonostante siano i primi a perdere le foglie già ad agosto, quest’anno sono ancora folti di vegetazione e svolgono ancora la loro attività per produrre frescura. Questi arbusti di grandi dimensioni che con il passare dei decenni assumono le sembianze di alberi sono da sempre in cima alle mie preferenze. Probabilmente rimangono le classiche riminescenze di gioventù, il ricordo del loro profumo intenso a maggio e la folta vegetazione che tende a racchiudersi quasi fino a terra per farne una capanna. Era il luogo preferito per i primi approcci e corteggiamenti con le ragazzine del posto, una sorta di prova d’esame per testare i sentimenti. Naturalmente la timidezza era mascherata con l’esuberanza dei sedici anni, ma alla fine con il contributo del profumo del sambuco il risultato veniva quasi sempre raggiunto.
Certamente i ragazzi di oggi ricorrono a ben altre tecniche, gli smart e i tablet sono il luogo d’appuntamento sui quali scambiarsi contatti virtuali, pazienza ne perde l’emozione ma cosi è il momento. Settembre è anche il mese in cui la vigna presenta il suo prodotto migliore, l’uva è matura un altro segnale che sta avvenendo il cambio della stagione. Ai bordi del mio bosco giardino non poteva mancare il filare di vite regolarmente tirato a pergola e il piacere di questi giorni è passeggiare sotto i grappoli maturi. Anche in questo percorso aleggia il profumo dell’autunno imminente, l’uva fragola con il suo intenso odore ci invita alla raccolta di questi grappoli dal sapore d’altri tempi. Ormai da anni ho trasformato il mio frutteto in filari di erbacee perenni da fiore che producono fiori tutto l’anno ed alla vigna ho riservato intere collezioni di settembrini (Aster domosus). Questi fiori o piccole margherite colorate in tutte le tonalità di rosa e  celeste sembrano nuvole che accompagnano i piedi della vigna fino ai primi grappoli. Un accostamento che crea meraviglia a chi visita il bosco giardino di questi giorni uscendo con la consapevolezza che anche un frutteto può diventare giardino, cedendo il posto della rigidità formale che questa forma di coltivazione implica, alla grazia dei fiori. Rudbeckia nitidaEchinacea purpureaGaura, fino all’inesauribile Nepeta. Sono lì a testimoniare che queste pennellate di colore rendono il frutteto un valore aggiunto al giardino. Il rientro dalle vacanze è sempre meno traumatico quando ad attenderti c’è il giardino e la sua vetrina costantemente rinnovata. Settembre viene spesso indicato dai poeti come un mese carico di dolcezza. Ne condivido pienamente l’accostamento soprattutto quando passo lungo il filare dei fichi e la dolcezza che caratterizza la poesia si affianca a quella dei fichi settembrini dolcissimi, una golosa ghiottoneria che la fine dell’estate ci riserva ancora. Anche l’orto ci mette del suo per far sì che il passaggio dall’estate all’autunno avvenga nel piacere di vivere la natura in tutte le sue sfumature. Le zucche sono pronte, sono mature per essere raccolte. Le varietà dalle forme più bizzarre e coloratissime poseranno ai lati della porta di casa. Rimarranno lì al sole in bella mostra, un decoro che preannuncia la stagione del vino nuovo e delle caldarroste. Gradatamente fino ad inverno inoltrato saranno un ingrediente goloso per i tortelloni ripieni, appetitosi sott’olio e squisite marmellate. Anche la nostra signora Francesca non ha saputo estraniarsi dalla zuccomania in corso negli ultimi anni. Pur di ingelosire la classica vicina di casa ha fatto pervenire bustine di semi da mezza Europa ed ora racconta alle amiche del club come è riuscita ad ingigantire questi frutti così appariscenti, elargendo consigli pratici e manifestando la sua profonda cultura fino alla creazione del “club della zucca cult”.
A settembre pomodori, peperoni e melanzane nell’orto battono in ritirata ma la passionaria ortolana ha preparato il cambio. Distesi a filari come nella sfilata militare del 4 novembre, cavolfiori, verze e broccoli sono quasi pronti per sostituire gli ortaggi che hanno accompagnato la nostra bella cucina di campagna durante l’estate. Le stagioni passano, la passione no, quella rimane ed aumenta ad ogni successo nella coltivazione dell’orto. Ne sanno qualcosa gli anziani che mai come a settembre pullulano gli orti appena fuori dalle città, tutti chini a zappettare cicorie Pan di zucchero. Una pratica che fa dimenticare perfino le artriti e il mal di schiena tanto è il trasporto e la passione. 





LA PIANTA VEDETTE DEL MESE
Per il mese di settembre ho scelto una pianta da frutto, il susino “Santa Clara”, una vecchia cultivar dell’inizio del secolo scorso dalla forma ovoidale oblunga e dalla buccia violacea leggermente appannata. Credo di non subire smentite se la definisco la susina per eccellenza. Oltre al consumo fresco è speciale per marmellate e susine sciroppate, senza trascurarne l’essicazione. Un albero di bell’aspetto che non sfigura nemmeno nel contesto del giardino per la sua immacolata fioritura bianca a marzo. Pianta che si adatta a vivere in compagnia anche di siepi miste poiché la sua vegetazione emerge e si appropria del sole. Come tutte le drupacee non necessita di particolari attenzioni, superato il primo anno di attecchimento si distingue per la sua rusticità e adattamento all’ambiente.

tratto da:
https://viveresostenibile.wordpress.com/sfoglia-il-mensile/selezione-articoli-ok/un-mese-in-giardino-settembre/

Festa del tempo ritrovato



Giornata di libri, librai, editori, autori, poeti,racconti, storie, idee, terre e terra

EDITORI E LIBRAI
Perosini Editore – Zevio - VR
Il Segno dei Garielli Editori – S. Pietro in Cariano - VR
Libreria Libre – Verona Editrice
Pentagora – Savona
Sargon Editore – Padova Casa
Editrice Gedi – Delmiglio Editore Verona


AUTORI E POETI
- Graziano Turrini - “Veleni “ Panda Edizioni Castelfranco Veneto - introduce Gigi Aldrighetti
- Claudia Perdonà “Matite rosse e margherite” - introduce l’editore Pierluigi Perosin
- Libreria Libre presenta Lia Arrigoni
- Vincenzo Valente archeologo presenta Sargon Editore Padova
- Emanuele Delmiglio presenta Casa Editrice Gedi e Delmiglio Editore Verona
- AA.VV. “Tracce di antichi pastori negli alti Lessini” Bussinelli Editore Vago di Lavagno - sezione architettura, presentata dall’autore architetto Vincenzo Pavan
- Massimo Angelini “L’ecologia della parola” Pentàgora Edizioni Savona- presenta Esther Weber
- “Il Compascuo” Giornale di Antica Terra Gentile compie 10 anni - introduce Plinio Pancirolli
- Dino Martini presenta L’opera vivente di un allievo cestaio
- Alfeo Guerra - (Poeta Cimbro)
- Beniamino Degirolamo referente e Mara Chinatti conduttrice presentano il progetto di Arteducativa degli Istituti Penitenziari di Verona
- Otto Wörgl “Sem Terra” Insedicesimo Savona - introduce Giovanni Zivelonghi

IL CONSORZIO IL BIOLOGICO FUORI DA FEDERBIO


Le valutazioni diverse sui controlli nel settore biologico italiano, dopo la presentazione del decreto di riforma nazionale, stanno provocando una clamorosa spaccatura all’interno di FederBio, in particolare tra i vertici di FederBio e alcuni organismi di controllo e certificazione all’interno della Federazione. L’8 agosto si è avuta la misura della serietà del problema, con l’annuncio dell’uscita del Consorzio Il Biologico da FederBio. La decisione è rimasta riservata per alcuni giorni ma è poi trapelata da alcuni dei numerosi associati al Consorzio, in particolare a seguito della lettera inviata dal presidente del Consorzio Lino Nori, tra i padri fondatori di FederBio, agli associati.
Eccone alcuni passaggi: ‘Il settore biologico, che peraltro sta attraversando un periodo di significativa crescita, deve purtroppo fronteggiare anche minacce che ne possono compromettere seriamente le sorti. Stiamo parlando in particolare del Decreto Legislativo predisposto dal MIPAAF, che è stato approvato dal Consiglio dei Ministri lo scorso 16 giugno 2017 e che sta per approdare alla Conferenza Stato Regioni per poi passare all’esame del Parlamento. Al di là delle lodevoli intenzioni espresse nel titolo, il testo contiene diverse disposizioni che minano alla base il funzionamento del sistema di certificazione ed altre fortemente vessatorie nei confronti dei produttori’.
E ancora: ‘Numerose ed importanti sono le organizzazioni contrarie alla attuale stesura del Decreto che condividono la nostre stesse preoccupazioni, anzi si può dire la quasi totalità del sistema produttivo, degli organismi di certificazione e, va sottolineato, dalle Regioni. A fronte di questi soggetti che hanno prodotto un grande sforzo per portare avanti le proprie buone ragioni, abbiamo assistito, sorprendentemente, ad una completa e testardamente rivendicata inazione da parte di FederBio culminata con una sostanziale e convinta adesione anche alle parti più controverse e dannose del provvedimento. La Federazione di cui siamo stati soci fondatori e che abbiamo sempre sostenuto come momento di rappresentanza unitaria del settore, ha da qualche tempo iniziato ad assumere posizioni demagogiche ed estremiste che hanno portato il settore ad essere il primo detrattore di se stesso con grave danno di tutti coloro, e sono tantissimi, che lavorano con onestà e professionalità, alimentando anche un clima di scontri e delegittimazioni tra i soci che rende sempre più chimerico il perseguimento degli obiettivi unitari che ci si era prefissi’.
E poi la conseguente decisione: ‘Il Consiglio di Amministrazione del nostro Consorzio, nel valutare gli sviluppi di questa situazione ha ritenuto inevitabile procedere alla rescissione del rapporto associativo con Federbio in quanto la Federazione si è ormai allontanata in modo troppo profondo dai suoi obiettivi originari ed anche perché, nell’immediato, dobbiamo rimarcare che un appoggio così totale al Decreto in discussione non è compatibile con una nostra ulteriore permanenza nella compagine associativa’.
Il dibattito sulla spinosa questione è molto vivo all’interno di Assocert, l’associazione che riunisce gli enti di certificazione e controllo, e non si escludono nuove decisioni alla vigilia o immediatamente dopo il SANA.
Nella foto Lino Nori, presidente del Consorzio il Biologico
(fonte: GreenPlanet.net)

tratto da:
http://www.corriereortofrutticolo.it/2017/08/28/consorzio-biologico-federbio/

Corso di panificazione a Battaglia Terme

Sabato 14 ottobre 2017
Con Maurizio Babetto
Obiettivo del corso è fornire le conoscenze adeguate per farsi il pane in casa, utilizzando farine integrali biologiche e adottando il metodo della lievitazione naturale. Questo tipo di lavorazione rende il pane più digeribile e assimilabile e porta beneficio all’organismo perché stimola i naturali processi di riproduzione della flora batterica intestinale.
Il programma prevede lo svolgimento di tutte le fasi della produzione artigianale del pane: preimpasto, lievito madre, impasto, cottura, degustazione.
Luogo di svolgimento: presso la sede Biolca a Battaglia Terme (PD)
Orario: Sabato 14 ottobre dalle ore 9,00 alle 14,00.
Quota di partecipazione per i soci Biolca: € 50,00 (comprensiva di degustazione della pizza autoprodotta nel corso della lezione). Chi non è socio deve aggiungere la quota associativa di € 20,00 che dà diritto a ricevere il mensile Biolcalenda per 1 anno.
Per informazioni: tel. 049 9101155 (Biolca) o 345 2758337 (Martina)  o info@labiolca.it

I pesticidi danneggiano il quoziente intellettivo dei bambini. Danni pari all’1% del PIL UE

tratto da:
https://www.dariotamburrano.it/pesticidi-danni-qi-e-1x100-pil-ue/

Uno studio del Parlamento Europeo valuta il cibo biologico e convenzionale: i pesticidi danneggiano per sempre il cervello dei bambini e causano deficit di attenzione.



pesticidi friggono il cervello dei bambini. Più un bambino piccolo è esposto ai pesticidi – e più vi è esposta la madre durante la gravidanza – più egli, in età scolare, rischia problemi come deficit di attenzione e abbassamento del QI(quoziente di intelligenza). Si calcola che, in tutta l’UE, a causa dell’esposizione agli organofosfati ogni anno vada perso un numero di punti QI pari a 13 milioni. Gli organofosfati sono i composti-base di molti pesticidi ed erbicidi ammessi nell’agricoltura convenzionale ma non in quella biologica. Tradotta in termini monetari, la sola perdita di punti QI legata agli organofosfati ha un costo economico valutabile in circa 125 miliardi di euro all’anno: all’incirca l’1% del PIL dell’UE.
Lo dice uno studio dello STOA del Parlamento Europeo dedicato alle differenze fra l’alimentazione biologica e quella convenzionale. E’ disponibile sia on line sia in fondo a questo post. Dal punto di vista nutrizionale, i vantaggi del cibo biologico sono modesti. Ma il nocciolo della questione è ben altro: consiste nei danni allo sviluppo neurologico causati dai residui di pesticidi  presenti nel cibo convenzionale (da pag. 30 a 32 dello studio – da 32 a 34 del pdf).
Alimenti biologici a parte, la metà dei vegetali che mangiamo contiene residui di pesticidi. Genitori e insegnanti si lamentano che i ragazzi non sanno più l’italiano; i quaderni di scuola mostrano un gap incolmabile rispetto a un tempo neanche lontano; aumentano i casi di ADHD, la sindrome da deficit di attenzione e iperattività che costituisce l’incubo dei genitori di tutto il mondo. Forse fra qualche decennio gli  scienziati saranno in grado di dirci se é corretto unire i puntini ed attribuire questi disastri, in tutto o in parte, agli onnipresenti pesticidi.
Lo STOA del Parlamento Europeo (Science and Technology Options Assessment) si é interessato a fine 2016  delle differenze fra alimentazione biologica e alimentazione convenzionale. Lo STOA costituisce una sorta di  ponte fra la politica e la comunità scientifica per portare nella politica il lievito della scienza; Tiziana Beghin ed io ne facciamo parte per il M5S Europa. Lo studio dello STOA consiste fondamentalmente in una panoramica della letteratura scientifica disponibile sull’argomento. Uno dei capitoli é dedicato all’impatto dei residui dei pesticidi sullo sviluppo neurologico.
La pubblicazione dello studio è stata preceduta da una conferenza. Il video qui sotto mostra la parte fondamentale dell’intervento sui pesticidi allo STOA di Philippe Grandjean, professore aggiunto di salute ambientale all’Harvard School of Public Health.
Per chi fosse interessato, la registrazione integrale dell’incontro é disponibile on line sia sul sito del Parlamento Europeo che su youtube.
Secondo lo studio dello STOA, gli esami del sangue e delle urine indicano che gli europei sono esposti agli organofosfati come gli statunitensi, e anche più di loro. Negli USA é stata dimostrata l’associazione fra l’esposizione delle donne incinte agli organofosfati e i problemi di sviluppo mentale dei figli all’età di due anni, la minore capacità di attenzione a 5 anni, il quoziente di intelligenza più basso a 7 anni, lo sviluppo cognitivo alterato a 12 e 24 mesi e  fra i 6 e i 9 anni.
Altri studi statunitensi, sempre relativi alla presenza di organofosfati ma stavolta nel sangue del cordone ombelicale: sviluppo mentale e motorio ritardato a tre anni, addirittura cambiamenti nella struttura del cervello in età scolare. Più ci sono organofosfati in corpo, più é alto il rischio che un bambino di 5 anni sviluppi l’ADHDanaloghi rischi anche a 8-15 anni.
Ancora negli USA, fra i bambini nelle cui urine si ritrovano piretroidi (un altro tipo di pesticidi ammessi nell’agricoltura convenzionale ma non in quella biologica) l’ADHD é doppia rispetto ai bambini nelle cui urine i piretroidi sono al di sotto del limite di rilevabilità.
Non esistono studi analoghi relativi ai cittadini europei. Tuttavia il livello di esposizione ai pesticidi dei cittadini europei è noto. E’ quindi possibile proiettare sulla popolazione UE i risultati degli studi USA e stimare i danni causati da questa situazione.
Come ha sottolineato Philippe Grandjean durante l’incontro allo STOA, i pesticidi usati nell’agricoltura biologicasono pochi e non hanno un impatto neurotossico. I pesticidi impiegati in agricoltura convenzionale invece hanno un impatto neurotossico ed il feto é molto più sensibile della madre ai pesticidi: ma di regola l’UE, nella valutazione dei pesticidi, non tiene conto della neurotossicità per lo sviluppo.

Si riaprono le prenotazioni x altri cartelli



Costano:
per uno 30,00 euro
per due o più 25 cadauno

le prenotazioni dovranno arrivare entro il 30 Settembre a vittorio@betteloni.it


vi ricordiamo che i cartelli sono fatti anche per chi è in conversione

Salotto Eclettico a Castelrotto



Mission
L’espressione fare salotto, nata nel Seicento e rimasta in voga fino a oggi, indica l’uso di uno spazio privato per incontrarsi, dialogare e anche scontrarsi.
Nella loro vicissitudine storica, i salotti furono spazi di confronto tra intellettuali e non, in alcuni casi vere e proprie fucine di idee.

L’idea del nostro salotto eclettico nasce nella scia di questa tradizione. Un gruppo di amici, uomini e donne, giovanissimi, giovani e meno giovani, intellettuali e non, che per congiuntura si sono ritrovati a condividere la bellezza di Villa Betteloni – luogo unico per la sua amenità e la sua storia poetica – decide di fare di quel luogo uno spazio.
Spazio e luogo non sono sinonimi, non indicano la stessa cosa. Un luogo è una dimensione in cui appaiono elementi secondo un certo ordine o posizione. Uno spazio è un luogo praticato, animato dai movimenti di chi lo vive.

Il salotto eclettico si propone come uno spazio di condivisione e riflessione, in incontri su temi inerenti la quotidianità del nostro vivere, affrontati da vari punti di vista: filosofico, letterario, musicale, bioetico, enogastronomico... per questo il salotto è eclettico, ma anche perché è pensato come un momento di incontro e scambio tra le idee di tutti i presenti.

In questo sta la sua particolarità culturale: non vi sarà l’ascolto di una voce unica, ma l’interazione delle voci di molti e molte.
Informazioni di contatto
@salottoeclettico
Più informazioni

Inizia il Sana a Bologna


Storia breve del glifosato


L’erbicida è oggetto di discussioni in questi mesi perché la Commissione Europea dovrà decidere se consentirne l’utilizzo per altri 10 anni. Si tratta di un erbicida tra i più utilizzati al mondo, che ha sollevato controversie in ambito scientifico causando grande preoccupazione anche tra i cittadini. E’ questo un caso significativo in cui la mancanza di trasparenza e i messaggi contradditori hanno generato diffidenza e preoccupazione. 
Le Agenzie incaricate di valutarne la tossicità hanno espresso pareri discordanti che hanno avuto rilevanti conseguenze sugli enti deputati a decidere.
  
Ripercorriamo le tappe fondamentali
  • marzo 2015, la Agenzia per la Ricerca sul Cancro (IARC) classifica il glifosato come probabile cancerogeno per l’uomo (gruppo 2A). Il giudizio si è basato su un’evidenza limitata di provocare il cancro nell’uomo e un’evidenza sufficiente di provocare il cancro negli animali da esperimento. La IARC conclude inoltre che vi sono prove evidenti che sia il gliofosato puro sia quello  presente in formulazioni sia genotossico.
http://monographs.iarc.fr/ENG/Monographs/vol112/mono112-10.pdf
  • novembre 2015, l’Agenzia Europea per la Sicurezza Alimentare (EFSA) esprime il suo parere: “è improbabile che la sostanza sia genotossica o che presenti una minaccia di cancro per l'uomo. Non si propone di classificare il glifosato come cancerogeno nei regolamenti UE in materia di classificazione, etichettatura e imballaggio delle sostanze chimiche. Nello specifico tutti gli esperti degli Stati membri, ad eccezione della Svezia, hanno convenuto che né i dati epidemiologici né le prove da studi su animali abbiano dimostrato nessi causali tra esposizione al glifosato e insorgenza di cancro nell’uomo”. Il parere dell’EFSA arriva al termine di un processo durato quattro anni, iniziato nel maggio 2012. Sebbene la disamina degli studi abbia concluso che la sostanza non sia genotossica ed è improbabile la sua attività cancerogena, l’EFSA ha proposto un limite definito come dose acuta di riferimento[1]  (DAR) di 0.5 mg per kg di peso corporeo. Sono stati fissati anche altri due parametri: il livello ammissibile di esposizione dell’operatore (LAEO) è stato fissato a 0.1 mg per kg di peso corporeo al giorno e la dose giornaliera ammissibile (DGA) per i consumatori a 0.5 mg/kg di peso corporeo. 
https://www.efsa.europa.eu/it/press/news/151112
http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.2903/j.efsa.2015.4302/pdf
  • maggio 2016 il gruppo per la valutazione dei residui dei pesticidi della FAO e dell’OMS, dopo essersi riunitosi a Ginevra, conclude che “è improbabile che il glifosato rappresenti un rischio di cancerogenità per l'uomo attraverso l'esposizione alimentare”
http://www.who.int/foodsafety/jmprsummary2016.pdf?ua=1
  • marzo 2017 l’Agenzia Europea per le Sostanze Chimiche (EChA) ha stabilito che la sostanza non debba essere considerata cancerogena. Il Comitato per la valutazione del rischio dell’ECHA ha ritenuto che il glifosato non debba essere considerato cancerogeno in accordo con quanto stabilito dai criteri del Regolamento CLP. Sono stati riesaminati tutti i dati disponibili e si è concluso che il glifosato debba essere classificato come tossico per gli occhi e in grado di causare danni a lungo termine per gli organismi acquatici.  Attualmente la classificazione è la seguente:  Eye Dam. 1 -  H318 (Provoca gravi lesioni oculari), Aquatic Chronic 2   - H 411(Tossico per gli organismi acquatici con effetti di lunga durata).
https://echa.europa.eu/it/-/glyphosate-not-classified-as-a-carcinogen-by-echa
  • maggio del 2017 il tossicologo Christopher J Portier, presso l’Agenzia Internazionale per la Ricerca sul cancro ha scritto una lettera al Presidente della Commissione Europea Jean Claude Junker per chiedere che le Agenzie europee rivedano le loro valutazioni.

Lettera di Portier al presidente della Commissione Europea  http://www.epiprev.it/sites/default/files/LetterJuncker28May2017.pdf

Traduzione in italiano della lettera di Portier al presidente della Commissione Europea (a cura di DoRS)
Documento prodotto da DoRS: Le contraddizioni del glifosato, il diserbante più usato in agricoltura (marzo 2016)